Bed and breakfast
L'Australien ayant quelques soucis pour intégrer le logement que son employeur lui a réservé en France, je me dois de l'héberger un peu plus longtemps que prévu. J'espère que ce n'est qu'une histoire de jours car celui qui pourrait bien devenir mon nouvel amoureux me manque (déjà) un peu. Je le vois ce soir pour un ciné, mais je sais aussi que je vais être frustré de ne pouvoir faire plus.
Hier soir, avec l'Australien, nous avons rejoint le petit Q. au Banana (bar qui reste glauque malgré les années qui défilent). Petit Q. aussi a quelques soucis de logement et m'a demandé si je pouvais l'héberger quatre soirs la semaine prochaine. Accepter est très risqué car petit Q. est très beau, très chaud (en général), et je ne voudrais pas tromper celui qui pourrait bien devenir mon nouvel amoureux... La situation s'annonce donc difficile. Ceci dit, j'habiterais le Larzac, je me plaindrais de ne jamais voir personne. Ce vendredi, dernier jour de la semaine (ou premier soir du week-end, au choix), j'ai décidé de tomber dans l'optimisme à outrance alors je tente un "tout va bien"... Non ! "Tout va très bien" !