Enfffiinn !
La journée s'achève enfin. Après avoir
(avec réussite) esquivé un certains nombres de travaux gargantuesques
au bureau cet après-midi, en m'occupant à diverses autres tâches toutes
aussi variées qu'elles étaient loin d'être prioritaires, j'ai cependant
eu à manager la "fermeture", c'est-à-dire m'assurer auprès de nos
clients et partenaires qu'ils étaient satisfaits de la masse
(considérable) de travaux réalisés et livrés dans les temps par mes
confrères, collègues (voire amis). Évidement, tout ne fut pas aussi
simple qu'en théorie et une absence de clé m'empêcha de rejoindre mon
chez moi avant 21h !
Ereinté (le mot est faible), je peux
désormais prendre mon pied sous une douche froide après avoir, une fois
de plus, pris mon courage par les cornes (à défaut de taureau) et
emprunté ces wagons surpeuplés (plus communément appelés métro) et qui
plus est malodorants du fait, justement, qu'ils le sont... surpeuplés
et que leurs systèmes de climatisation légers, pour ne pas dire
inexistants, brillent (chauffent ?) par leur incapacité chronique à ne
pas réguler la température du sous-sol parisien.
Arrivé (entier)
donc chez moi, j'ai filé sous la douche et ai commencé à me préparer
pour l'anniversaire mentionné dans deux posts précédents, tout en
sirotant un (petit) whysky-coca et en écoutant quelques tubes électro
sensés me plonger (à nouveau) dans une ambiance festive dont le
caractère répétitif de ces dernières semaines (mois ?) n'a toujours pas
réussi à entraîner chez moi une certaine lassitude (qui pourrait
s'avérer légitime). Ceci étant constaté, me voilà prêt à affronter (à
défaut de subir) une nouvelle nuit d'ivresse... heureusement sans
Josiane Balasko, ni Thierry Lhermitte. Rassurant !
J'oubliais : il neige à Paris !!! ... non ? Mais alors, qu'est-ce qui traîne sur mon bureau... ?