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Le journal en ligne de Sociable, un gay à Paris
17 septembre 2005

C'est arrivé pas si loin de chez moi

J'ai été poli, gentil. J'ai écouté, j'ai répondu... bref, j'ai dialogué. En un mot, j'ai été sociable ce vendredi soir !!! Je suis allé dîner au restaurant avec un blogger parisien. Il est très sympathique. Nous n'avons fait que manger (et boire un peu aussi). Il est rentré chez lui, et moi, je repasse chez moi avant de ressortir. Je devais me rendre dans une soirée de promo d'un film, dans le 8e, mais cela ne me tente plus. Par contre, j'ai ouïe dire qu'il y avait une soirée Monoculture à La Scène. Je vais y aller, seul, et cultiver mon ass-sociabilité retrouvée... après un 'sky (avec du Red Bull, je n'ai plus de coca c'est la cata !), une douche et ce que vous (désormais) savez...

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Commentaires
A
J'assume... La flagornerie n'est pas mon fort.
T
PS= Au fait merci Sociable pour ta contribution a mes recherches google... Ca se payera ! ;-)
T
Althorp --> Je m'amusai beaucoup de vos confrontations, mais la je trouve que celui qui devient vulgaire c'est toi. Tu attaques plus par habitude que par conviction je trouve. Une opinion vite réglée sur une personne dont finalement tu ne sais rien, mis a part les qq lignes qu'il livre. Une généralisation de tous les lecteurs... Moi aussi je suis surpris que tu t'attardes sur un blog que tu trouves affligeant.<br /> -"un trou du cul amorphe"-
A
T'as vu hein! Tes histoires de cul les intéressent. Comme quoi... "Rien d'nouveau sous l'soleil" me dit souvent mon coiffeur.<br /> <br /> Mais je ne suis pas là pour parler de mon coiffeur, ce sadique du cheveu (ça c'est pour attirer l'attention du lecteur amorphe). Je crois avoir compris pourquoi ce blog m'intéresse (un peu). La vie du héros (Sociable, si j'ai bien lu) est d'une banalité affligeante et d'une vulgarité consternante, mais elle a le mérite de se passer d'images. Le poids des mots (mal orthographiés), le choc de l'imaginaire nourrissent le fantasme du lecteur blasé que je suis. Ce cul social est un peu le mien ; il est le trou noir de mes angoisses. Au fond (du fondement allez...), il me conforte dans l'opinion que le monde est rempli de trous du cul, qui y règnent sans partage. Tant mieux pour eux : c'est leur planète.<br /> <br /> Ouf ! Ainsi rassuré, je vais pouvoir continuer à habiter la mienne et - de manière très immédiate - aller me faire torturer le cheveu. Pour ne rien te cacher, cher Sociable, je culpabilisais un peu ces derniers temps de me surprendre à m'attarder sur ton blog...
P
Bonsoir ? Bonjour ? Peu importe vu l'heure. J'ai découvert ton blog hier dans la nuit et j'ai lu pendant plus d'une heure ou peut-être encore plus... J'avais les yeux explosés ! mais quel plaisir de lire tes chroniques agitées. Je viendrais périodiquement te lire, et sourire, et rire (quelquefois aux éclats). Porte toi bien, continue à écrire et à bientôt...
Le journal en ligne de Sociable, un gay à Paris
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