Nuit de ouf !
La soirée et la nuit ne se sont pas
passées comme prévues. Elles auraient pu être calmes, mais ça n'a pas
été le cas. Après le taf, j'ai retrouvé un pote (hétéro), G., à
Beaubourg. Nous décidons de dîner en terrasse aux Piétons. On commande
un pichet de sangria : jusque là tout va bien.
21h : G. s'aperçoit
qu'on vient de lui piquer son sac ! Papiers d'identité, téléphone, CB,
clés... la totale ! Direction le poste de police devant les Halles où
ils ne peuvent pas enregistrer sa plainte (j'ai pas compris pourquoi).
On appelle son opérateur, sa banque pour faire opposition, puis je le
ramène chez lui. Soirée gâchée. Enfin presque...
22h : c'est un pote de Montpellier qui m'appelle : "Je suis à Paris, on se voit ?". Mais pourquoi tout le monde vient me voir cette semaine
à Paris ?! On se retrouve devant l'hôtel de ville, on boit un verre au
Palmier : whysky-coca... 1, 2, 3... je ne sais plus trop. On repasse
chez moi, je me change en lorgnant sur la C. Je ne veux pas résister,
surtout qu'on décide d'aller au Rex, où la musique tapait un peu trop à
notre goût. Quelques lignes plus tard, et surtout à 6h du mat' : ni lui
ni moi n'avons envie de rentrer. On file à la Follow me, rue Kleber. Je
croise quelques connaissances. Les remontants aidant, je ne suis pas du
tout fatigué. On dansera jusqu'à 9h. F. rentre avec moi, on dort
(couche) ensemble pour finir par s'endormir vers 10h.
11h : mon portable sonne. "Attentats en Egypte", c'est pour ma pomme ! Merde j'avais oublié que j'étais d'astreinte ce samedi.
14h
: je file au bureau (la tête enfariné : faut ce qui faut !) que je
quitte à 18h. Retour à l'appart, F. vient juste de se lever, me demande
s'il peut rester dormir à nouveau ce samedi soir, avant de repartir
sur Montpellier demain midi. Je dis oui.
Là, il prend sa douche,
j'en profite pour vous étaler ma soirée et vous annoncer que celle qui
vient pourrait à nouveau révéler des surprises car je suis en week-end
jusqu'à lundi soir !
Fuck them all !